7/31/2010

Au revoir Shanghai


Zaijian Shanghai hé xièxie. Xiàge ting Suzhou - Au revoir Shanghai et merci beaucoup, prochaine arrêt: Suzhou

Shanghai Pudong


Royaume du rêve d’une prospérité prochaine, j’aimerais terminer ma visite de Shanghai sur cette image iconique d’un rêve américain réinterprété dans laquelle chaque jour des milliers de Chinois provenant des quatre coins du pays, y viennent inhaler ce parfum de la modernité.

Pavillon de l'Autriche


Le petit Pavillon autrichien fascine part sa forme biomorphique recouverte d’une fine peau de porcelaine. Cette structure de deux étages, gagnant d’un concours national lancé en 2008, est le produit un design collaboratif entre la jeune firme SPAN-arch et Zeytinoglu Architects, tous deux basés dans la capitale autrichienne. L’architecture de ce projet est basée sur l’idée de continuité, de transition fluide entre les espaces et d’une surface continue entre les différentes géométries architecturales. Sandra Manninger associée chez SPAN, précise que l’utilisation des mathématiques et de la géométrie comme un langage universel, capable de pouvoir aussi bien décrire la structure d’une symphonie musicale que la géométrie de coquille d’escargots, sont les fondement de ce projet. Ces propos mettent en évidence l’utilisation certaine d’une série de scripts permettant la réalisation de ce pavillon. Les scripts en architecture sont une série d’algorithme permettant de résoudre un problème particulier. Dans le cas échéant, ces scripts permettent d’élaborer et de modifier une forme à partir de paramètres ou variables inclus dans l’équation mathématique générant une forme. Je préciserai la méthode et les logiciels utilisés lorsqu’ils m’auront fourni l’information.

Pavillon de l'Autriche >> Biomorphisme


Cet unique Pavillon offre une réelle immersion spatiale. Tout est intégré à la forme biomorphique du Pavillon : plancher, garde-corps, mur, plafond, luminaires, puits mécanique, toilettes... Tous ces éléments classiques ne font qu’un pour créer cet univers architectural total. Le parti formel choisit par les designers ce prêt parfaitement à ce type d’univers spatial. De plus, cette sensation est exacerber par l’omniprésence des appliqués de céramique hexagonale passant d’un blanc au rouge, les couleurs de l’étendard du Pays. La signalisation du Pavillon ainsi que le graphisme des documents suivent également cette logique en faisant référence à la forme hexagonale de la composition de l’enveloppe.

Pavillon de l'Autriche >> Mobilier


L’ensemble du mobilier du pavillon s’intègre parfaitement à ces espace qui évoquent des formes organiques. Parmi ces éléments finement choisit, le mobilier intégré, dessiné par les architectes, est particulièrement remarquable et présente un fort intérêt pour le sujet ma recherche. La forme complexe de ceux-ci affirme une utilisation contrôlée des nouveaux moyens numériques. En effet, les designers ont élaboré ce mobilier grâce à un logiciel de modélisation dont je préciserai le nom. Pour le moment, ce que j’en sais, c’est qu’ils ont utilisé un crayon numérique à deux axes de rotation pour la conception de ces objets. Une fois la modélisation complétée, le logiciel génère une série de points dans l’espace qui sera par la suite interprétée par une grille tridimensionnelle projetée sur le module à découper et transmise à une fraiseuse rotative à 5 axes. Ce bras robotisé, sculptera dans un immense bloc de mousse de polystyrène expansé la forme désiréé. Ce processus hi-tec permet alors précision, perfection et fabrication de haute qualité. Une fois la forme organique terminée, un ouvrier applique avec soin un tissu blanc semi-transparent dont je ne pourrais voir dire la fonction. Par la suite, il applique sur cette surface textile un époxy de 3 mm d’épaisseur qui permet de rendre complètement invisibles les joints. Puis, cette couche sera polie aux endroits désirés tandis que d’autres portions du meuble demeurèrent intouché créant alors un jeu intéressant de texture entre les surfaces glacées et celles rugueuses. Une fois complété, un ouvrier applique une fine couche de peinture aérosol permettant un rendu identique à celle que l’on retrouve pour les voitures. Étant donné la grosseur de certain meuble tel que bar de la section VIP et puisqu’il fût réalisé en Europe, certain meuble furent impossible à réaliser en un seul morceau pour des raisons de transport. Alors, ces joints sont clairement affirmés par l’utilisation de petits coussins de néoprène tenant à distance les pièces entre elles. Je tiens aussi à souligner la légèreté du résultat final ainsi que sa relative fragilité. En effet, le meuble de situant près de la sortie fût légèrement brisée par l’ouverture exagérer de la porte, laissant voir sa composition interne. Malgré tout, peu de matière aurait résisté à ce type de choc. Je suis actuellement en contact avec le responsable du Pavillon afin qu’il puisse me fournir la vidéo, que je vous publierai, démontrant le processus de fabrication du mobilier intégré du Pavillon. À voir…

Pavillon de l'Autriche >> Scénographie


La scénographie du pavillon est très bien intégrée à l’espace architectural intérieur et reprend à l’occasion la géométrie hexagonale des tuiles de céramique utilisée pour l’enveloppe extérieure du Pavillon. Malgré certaine capsule fort intéressante sur le développement durable, certain portion du contenu de l’exposition frôle à quelques reprise l’univers du Kitsch largement exploré part un nombre incalculable de pavillons que j’ai visités. Elle n’en demeure pas moins intéressant du point vue de l’interactivité entre le contenu et le visiteur. En effet, des projecteurs sont couplés à des détecteurs captant une variété de mouvement, depuis le lancer de balle de neige au touché d’une paroi verticale jusqu’au parcours à pied du visiteur. Une fois activés, les projecteurs modifient l’image en fonction de l’action effectuée par le visiteur dont par exemple un tapis de neige fondant sous les pieds des visiteurs.

7/30/2010

Shanghai prospective


À travers leur musée et leur événement , certaines villes « romantisent » leur passé, pensons à Québec, d’autres comme Montréal vivent intensément leur état présent, tandis que ici en Chine on peut visiter une place qui n’est même pas encore construit : Shanghai urban planning exhibition hall. Cette à cet endroit que la vision prospective des Chinoise prend concrètement forme à travers une maquette démesuré à l’image des transformations qui s’y déroulent.

7/29/2010

Pavillon de la Pologne


Cet admirable pavillon dessiné par la firme varsovienne WWAA et entièrement produit en Chine affirme avec conviction sa présence à travers les mastodontes européens, l’Espagne, la France, la Suisse et l’Allemagne qui jouissaient fort certainement de budget beaucoup plus important que la Pologne. Malgré tout, le pavillon n’a rien en envier tant de jour que de nuit aux pavillons dont elle est bordée. Elle offre une architecture dans l’ensemble honnête.

Pavillon de la Pologne >> CAO


L’intérêt de ce pavillon pour ma recherche réside dans le processus de découpage à commande numérique (CNC- Computer Numerical Control) de l’ensemble de l’enveloppe tant intérieure qu’extérieure. À l’extérieur, les découpes mettent en évidence des motifs traditionnels alors qu’à l’intérieur et de manières beaucoup plus fines, celles-ci font référence à des panoramas abstraits urbains et organiques. Les architectes ont utilisé un procédé de découpage à commande numérique à 2 axes et à mèche rotative. Ce procéder assisté par ordinateur permet une découpe net dont l’intérieur de la coupe n’est point inaltéré contrairement à la découpe laser du même type qui brûle littéralement la face interne de la matière, mais qui offre en contrepartie un découpage extrêmement précis voir même chirurgicale. Par contre, étant donnée la géométrie de la mèche, il est alors impossible d’effectuer des angles acérés. En effet, le rayon des coins est assujetti au rayon de la mèche, elle-même dépendante de l’épaisseur et du matériau des pièces à découper. Ce procéder fonctionne particulièrement bien pour le découpage de typographie. Pour ce qui en est du découpage CNC au jet d’eau, ce procéder est principalement restreint pour l’usage de matériaux tels que le verre, la pierre, le métal et le cuir. Je tiens également à souligner que les architectes ont dessiné « à la main » l’ensemble des motifs avec le logiciel Autocad. Ils n’ont fait appel à aucun logiciel de paramétrage ou scriptage pour leur facilité l’existence et leur permettre aussi adaptabilité formelle plus longue.

Image fournie par WWAA

Pavillon de la Pologne >> Mobilier


Le processus de découpage engendre deux corps un négatifs et un positif. Les architectes ont eu la brillante idée de réutiliser les rebus de découpage (négatif) afin de créer un mobilier à la fois ludique et orignal. Ainsi, le pavillon de la Pologne offre aux visiteurs une série de formes géométriques tirées des motifs traditionnels sur lesquelles ils peuvent se reposer tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Pavillon de la Pologne >> Scénographie


La scénographie du pavillon propose un espace construit par une symbiose entre des surfaces irrégulières finement découpées et des jeux de lumière et de projections délicates. Il est aussi intéressant comment les différentes épaisseurs de plan permettent de créer une épaisseur et une matière à la lumière. Les designers ont fait appel à un programme informatisé canadien, Christie, afin de permettre une projection léchée sur des parois irrégulières. De plus, afin de maintenir un contraste entre le fond noir dévoilé par les milliers de découpes et la paroi d’un blanc immaculé, les scénographes ont soustrait à même le matériel multimédia les cavités. Résultat, la projection s’effectue seulement sur les plans désirés. Une autre logiciel multimédia permet de passer d’une ambiance plutôt relaxante en journée à une ambiance plus festive en soirée, alors qu’une ambiance disco est programmée pour la soirée spéciale se tenant au Pavillon.

7/28/2010

Shanghai schizophénique


Shanghai est une ville schizophrénique habitée par plusieurs réalités se côtoyant dans un noyau urbain commun. L’une d’elle et celle de la majorité de la population est celle d’une pauvreté tangible. Pour cette population, subsistant avec seulement quelques Yuans, demeure encore dans les derniers Shikomens en attend d’une destruction certaine. Dans cette réalité shanghaienne, un étranger peut y vivre, hôtel exclu, pour 100 Yuans (15$) restaurants, taxi, métros, musées... Complètement d’une autre nature, celle cette fois de plus de 120 000 Shanghien et hors moyens pour la plupart des occidentaux, il y a ce cette ville de la démesure et de l’abondance. Dans cette réalité occidentale augmentée, on s’y arrache les montres genevoises, les sacs à main italiens, les produits de beauté française et un y commande à coup de dizaine de flacons le précieux liquide champenois. Les promoteurs accueillent ses nouveaux milliardaires à partir de 700 000 $ pour de minuscule 4 et demie de 100m2 au centre-ville jusqu’à des penthouses aux prix plus qu’exorbitants.

7/27/2010

Pavillon du Danemark >> Scénographie


Les designers ont proposé un mobilier à l’image de leur pavillon, soit fluide et ludique. Ces jeux à la fois formelles et programmatiques permettent d’accommoder les gens de tout genre et de tout âge. Un soin particulier fût adressé aux enfants leur permettant ainsi d’avoir un espace où s’asseoir à leur échelle et de jouir d’espaces sur le toit pour s’y amuser. De plus, je tiens à souligner le fait que le pavillon offre beaucoup d’espace pour s’asseoir et relaxer, chose aussi peu courante dans les autres pavillons. De plus, la perforation extérieure permet d’acheminer une lumière diffuse à l’intérieur sans toutefois nuire au projet scénographique. Ces perforations ont été effectuées de manière graphique en reflétant les forces appliquées à la structure comme le prétend BIG.

Pavillon du Danemark >> Parcours


Que dire des vélos, moyen de transport par excellence de tout Danois! Quelle idée géniale de pouvoir effectuer ce parcours spirocoïdale à même ce moyen de transport durable! Cela nous permet d’avoir un regard tout à fait différent du pavillon inhérent à la notion de vitesse. C’est à ce moment qu’on ressent de manière la plus puissante la fluidité du parcours. De plus, le fait de monter et de descendre et puis de remonter et redescendre amoindrit l’impression de se déplacer en rond et offre par le fait même une succession d’espace aux qualités souvent antagonique : extérieur/intérieur/extérieur/intérieur/extérieur, ouverture/compression, regard vers le centre/vers le site de l’Expo… Il faut aussi mentionner que le parti formel est excessivement bien contrôlé permettant alors à la forme d’accomplir une série de donnée programmatique d’elle-même : entrée, marquise, point focal, belvédère, parcours scénographique extérieur couvert…

Pavillon du Danemark >> CAO


J’attends actuellement de l’information supplémentaire concernant l’utilisation des moyens numériques de la conception jusqu’à la construction auprès des concepteurs de BIG. De manière intuitive, je crois que l’utilisation de la CAO fût couplée à certains scripts du type Grasshooper –Rhino permettant alors d’optimiser et de rationaliser la structure complexe de ce pavillon. De plus, l’utilisation des technologies numérique a sans aucun doute permis le dimensionnement précis de chaque pièce structurale. Je complèterai cette section relative à mon sujet de recherches lorsqu’ils auront répondu, je l’espère, adéquatement à mes questions.

Images fournies par BIG

Pavillon du Danemark >> Espace central


L’espace délimité par ces spires est sans aucun doute celui le plus lyrique. Le bassin offre des réflexions sublimes qui s’empreignent sur les parois centrales du Pavillon lui conférant cette tonalité turquoise plutôt exotique. Cette eau fût pompée à même les eaux cristallines de la ville de Copenhague et acheminée par paquebot jusqu’en Chine. À ses bords la jolie ¨Little Mermaid¨ élément focal du Pavillon fut également amener jusqu’ici. Le pavillon est conçu de manière à pouvoir contempler constamment l’icône même de la capitale danoise. Pour ceux d’entrevous qui se demande alors que faire à Copenhague puisque l’attraction touristique N.# 1 n’est plus du rendez-vous. Rassurez-vous l’équipe de BIG s’est chargé d’employer un jeune artiste chinois Ai Weiwei pour y remédier. Il a ainsi proposé d’utiliser les techniques modernes de la surveillance numériques couplées au web afin de créer à nouveau sur les berges de Copenhague l’icône manquant grâce à un système multimédia à base de LED. Un vidéo transmet en temps réel les 24hr sur 24, 7 jours sur 7 les aventures de la ¨Little Mermaid¨ au pays du Soleil levant. Vous êtes curieux: www.mermaidexchange.com

Pavillon du Danemark


Ce magnifique Pavillon du Danemark, conçu par BIG, est à même de nous surprendre. Il est un des rares Pavillons à offrir une vérité formelle entre ce que l’on perçoit de l’extérieur et ce qu’on ressent à l’intérieur. Situation pas très courante chez les autres Pavillons de l’expo. Mais avant tout, la plus grande qualité du Pavillon danois est certainement sa fluidité spatiale à la fois douce et complexe. On y rentre et l’on y sort sans jamais appréhender complètement le parcours effectué. Cette sensation est en partie créée par sa forme particulière qui restreint le champ de vision. De plus, ses spires se déployant dans l’espace, permis par sa structure autoportante, dématérialisent complètement cette architecture en objet fort sexy.

Pavilon de Macao


J’aimerais dédié cette photo du Pavillon de Macao à mon esthète collègue, Hugo, architecte à l’atelier In Situ. Je lui laisserai le soin de commenter ce singulier pavillon. Je t’en prie, laisse ta poésie s’exalter…

7/26/2010

Nanjing Rd


Passage quotidien obligatoire pour me rendre à mon hôtel, la fameuse Nanjing Road est toujours aussi flamboyante de jour comme de nuit. Elle émerveille les milliers de passants qui s’y tassent tous les jours. Semblable à un manège, elle nous ensorcelle les premiers jours, on l’appréhende les seconds jours et puis on s’en lasse rapidement par la suite. Royaume de la consommation, Nanjing Road permet d’assoupir les désirs les plus fous. Entre les marchands de babioles, proxénètes, prostitués, cyclomoteurs, trains touristiques et cette masse continue de promeneurs aveuglés par ces milliers de néons flamboyants, il est bien difficile de s’y faire un chemin.On l'aime ou l'on ne l'aime pas.

7/25/2010

Pavillon de l'Allemagne >> Scénographie


Fidèle à leur image, le Pavillon Allemand est d’une extrême efficacité. La scénographie est d’une clarté irréprochable mettant en scène les nombreux avancements technologiques du pays en égard du développement durable. Contrairement à plusieurs pays qui demeure silencieux ou très peu bavards vis-à-vis le thème de l’exposition universelle : Better city, Better life, l’Allemagne proclame fièrement son rôle de leader mondial dans le domaine. Le contenu de l’exposition est excessivement riche et captivant : design urbain, architecture, matériaux écologiques, avancée industrielle… Le parcours est simple et agréable. Un délice pour les visiteurs!

Pavillon de l'Allemagne >> CAO


Il paraît évident que les explorations formelles sont été grandement facilité par l’emploi de la conception assistée par ordinateur (CAO). Au-delà de cela, dans le cadre de ma recherche, le réel intérêt de l’étude de ce Pavillon est la manière dont fût utilisé l’ordinateur pour réunir l’information, du stade de la conception jusqu’à la construction. En effet, l’utilisation innovatrice d’un modèle intégré des savoirs multiples se dessine comme une perspective d’échange de données très prometteur. Encore aujourd’hui, au Québec cette pratique demeure très peu répandue. Cependant, la technologie existe, nous avons qu’à passer par exemple à la suite Autodesk Revit Architecture – Structure – MEP et celle de son concurrent Bentley. Quant à eux, Schmidhuber+Partner, concepteur du Pavillon de l’Allemagne, ce fût Rhino couplé à certain autre logiciel : Tekla , Allplan Nemetschek…

Image fournie par Schmidhuber + Partner GbR

Pavillon de l'Allemagne >> Parcours


Malgré la complexité formelle apparente du Pavillon, tout y est intégré avec précision et rigueur. Pas étonnant, l’équipe de conception (architectes et ingénieurs) et de construction (contacteur) a travaillé à partir d’un simple et unique modèle 3D effectué grâce au logiciel Rhino et différents plug-ins. Grâce à cette méthodologie, aucune information n’a été perdue malgré les quelque 9 000 km qui séparaient le lieu de conception de celui de la construction, sans compter les problèmes inhérents aux différents langages. Résultat, une symbiose parfaite entre les couches constituant le pavillon (Architecture, Structure, Circulation, HVAC, Électricité…). Par la profusion de détails tant technique qu’architectural et par l’utilisation efficace de l’espace tridimensionnel, on comprend aisément que ce pavillon à été travaillé entièrement à partir du modèle 3D.

Pavillon de l'Allemagne


Le pavillon allemand arbore noblement sa robe de soirée. Une fois de plus, les Allemands surprennent par la capacité à synthétiser la demande à travers une architecture de qualité : s’illustrer parmi les 90 pavillons tant de jour que de nuit, induire un parcours cohérent à l’extérieur et l’intérieur, expliciter le thème de l’expo à travers la découverte de leur pays, proposer des espaces publics et privés de qualité…